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67 sessions correspondent à la recherche.

jeudi 6 octobre 2016

Jeu, 6 Octobre
09:00 - 10:00

Cardiologie

Amphi Bordeaux

Président de session : Pr M. DESNOS, Unité Clinique - Insuffisance Cardiaque, Hôpital Européen Georges Pompidou, AP-HP
09:00 - 09:30
Santé cardiovasculaire, comment convaincre et motiver nos patientsObjectif(s)
- Connaitre le bénéfice d'un mode de vie sain sur la survenue des grandes maladies chroniques et sur son espérance de vie en bonne santé
- Connaitre quelques outils en ligne sur le Web utiles pour aider un sujet à prendre conscience de son risque cardiovasculaire
- Connaitre les éléments de posture du soignant qui favorisent l'engagement et la persistance dans les soins (curatifs ou de prévention)
Dr F. LEDRU, Service de Réadaptation cardiaque, Hôpital Corentin Celton, AP-HP
09:30 - 10:00
Arrêt cardiaque : nouvelles recommandations en 2016Objectif(s)
- Savoir/connaitre l'épidémiologie de l'arrêt cardiaque
- Reconnaitre et prendre en charge un arrêt cardiaque : du témoin à l'hôpital
- Savoir/connaitre en post arrêt cardiaque immédiat ou en cas d'arrêt cardiaque réfractaire
Dr L. LAHMAULT, DAR - SAMU de Paris, Hôpital Necker, AP-HP
 

Jeu, 6 Octobre
09:00 - 10:00

Pédiatrie

Salle 342 AB

Président de session : Dr C. JEANDEL, Montpellier
09:00 - 09:30
Enurésie nocturne de l'enfant Objectif(s)
- Connaître les principaux diagnostics différentiels de l'énurésie simple
- Connaître les différentes options thérapeutiques
Dr S. NATHANSON, Le Chesnay
09:30 - 10:00
Diversification alimentaire : évolution des concepts et recommandationsObjectif(s)
- Le lait maternel est le meilleur choix pour l'alimentation du nourrisson : il est conseillé de poursuivre l'allaitement maternel comme apport lacté à l'âge de la diversification, puis jusqu'à 1 an et même au delà. En l'absence ou insuffisance d'allaitement maternel, les laits de suite ou de croissance doivent être préférés au lait de vache
- La diversification alimentaire doit être progressive, et son début doit se situer entre 4 et 6 mois même pour les aliments réputés allergisants, chez tous les enfants qu'ils soient considérés comme étant à risque allergique ou non
- L'apport en protéines, en particulier animales, est en règle très supérieur aux "apports de sécurité" avec un surcroît de travail pour les reins et un possible risque d'excès de poids ultérieur, alors que l'apport lipidique est inférieur aux recommandations, en particulier pour permettre un développement cérébral optimum
Dr A. BOCQUET, Besançon
 

Jeu, 6 Octobre
09:00 - 10:00

Infectiologie

Salle 351

Président de session : Pr P. BOUREE, Unité de Parasitologie, Mycologie et des Maladies Tropicales, Hôpital Bicêtre, AP-HP
09:00 - 09:30
Pathologies dues aux mouchesObjectif(s)
- Savoir évoquer la pathologie due aux larves de mouches devant un abcès cutané, chez un patient revenant d'une zone d'endémie
Pr P. BOUREE, Unité de Parasitologie, Mycologie et des Maladies Tropicales, Hôpital Bicêtre, AP-HP
09:30 - 10:00
Dermatophytes transmis par les animauxObjectif(s)
- Savoir reconnaitre, diagnostiquer et traiter, et prévenir les dermatophytes transmis par les animaux
Dr A. PAUGAM, Service de Parasitologie-Mycologie, Hôpital Cochin, AP-HP
 

Jeu, 6 Octobre
09:00 - 10:00

Table Ronde "Automédication : parcours de soin ou parcours de consommation ?"

Salle 352 AB

Coordinateur : Pr J.F. BERGMANN, Chef du Département de Médecine Interne Hôpital Lariboisière, Professeur de Thérapeutique URF Paris Diderot, Ancien Vice-Président de la Commission d'AMM
09:00 - 10:00
IntervenantsMr G. BONNEFOND, Président de l'USPO
Dr C. CHOMA, Sous-directrice de la politique des produits de santé et de la qualité des pratiques et des soins, Direction Générale de la Santé
Mme E. DELPIT, Directrice Prévention & Innovations sociales, Klésia
Pr L. MARTINEZ, Vice-président de la Société Française de Médecine Générale, Issy les Moulineaux
Mr C. SAOUT, Ex-Président de AIDES, ex-Président de la Conférence Nationale de Santé
 
L'automédication (médication familiale, conseil officinal...) a toujours été un sujet polémique en France entre une prise en charge responsable de certaines situations médicales simples ne nécessitant pas l'avis d'un médecin et peur d'une perte de la couverture médicale du système social français.
Il existe de nombreuses options thérapeutiques efficaces et sûres disponibles en automédication mais leur bon usage impose une formation et une éducation à la santé associées à une information objective et fiable. De nombreux symptômes fréquents et bénins peuvent d'ores et déjà être pris en charge en automédication et demain, de nouvelles situations thérapeutiques pourraient conduire à l'utilisation de nouvelles thérapeutiques dans le cadre d'une relation privilégiée entre le malade et le pharmacien. Mais ceci ne se fera qu'avec l'accord du corps médical et qu'avec le soutien des pouvoirs publics. Ces situations pourraient devenir un cadre privilégié pour les assurances complémentaires.
Mais l'automédication responsable ne pourra se faire que dans le cadre d'une prise en charge globale du patient impliquant tous les acteurs de santé. Elle impose l'identification de produits de qualité, d'efficacité démontrée ayant un rapport bénéfice/risque très positif à un prix adapté.

Jeu, 6 Octobre
10:30 - 12:15

Séance plénière - Vaccination, où en est-on ?

Amphi Bordeaux

Animateur : Dr F. SARKOZY, Président de FSBN Health & Care
10:30 - 10:45
IntroductionPr B. VALLET, Direction Générale de la Santé
10:45 - 12:15
Table rondePr A. FISCHER, Comité d'Orientation Vaccins / IHU Imagine, Hôpital Necker Enfants Malades, AP-HP
Mme D. DEBIAIS, Vice-Présidente d'Europa Donna, Association de Patientes
Pr A. BUZYN, Présidente de la Haute Autorité de Santé
Dr P. BOUET, Président du Conseil National de l'Ordre des Médecins
Mr D. BORNICHE, Président du Conseil National de l'Ordre des Infirmiers
Mme I. ADENOT, Président du Conseil national de l'Ordre des pharmaciens
Dr P. de HAAS, Président de la FFMPS, Fédération Française des Maisons et Pôles de Santé
Pr L. BARRET, Médecin Conseil National de la Caisse Nationale de l'Assurance Maladie des Travailleurs Salariés
Mr C. DEVYS, Directeur Général de l'ARS Ile de France
Mr E. ORSENNA, Grand Témoin - Membre de l'Académie Française, Ambassadeur de l'Institut Pasteur
 

Jeu, 6 Octobre
12:45 - 13:15

Symposium - Vieillissement cellulaire et inflammation tissulaire : la voie prometteuse de l'épigénétique-nutritionnelle. La réponse PINOX™ (issue de la recherche Ninapharm/Forté Pharma) : étude d'efficacité in vitro et, vs placebo, en situation métabolique extrême. Prévenir les terrains-dégénératifs chroniques : 10 conseils pratiques

Salle 315

Session organisée par FORTE PHARMA
Modérateurs : Mme V. POUYSSEGUR, Gériatrie Odontologique - Biophysiologie du vieillissement cellulaire et tissulaire, Epigénétique-gériatrique. Maître de conférence des Universités (Nice/Sophia-Antipolis), Dr Y. ROUGIER, Médecin spécialiste, Biologie de la nutrition, Neurobiologie ; Programme Nutrition et Cancer ; Anti-Ageing-W.W.- Corr. Membre fondateur de la WHealth-Found et de l'IN2A (Institut de Neurosciences et Neuro-nutrition Appliquées). Directeur Scientifique des Laboratoires FORTE PHARMA (Monaco)
12:45 - 13:15
IntervenantsDr B. EDEAS , Docteur en Nutrition, Pasteur Institute and Research Ninapharm (Tokyo - Japon)
Dr M. NASU, Docteur en Pharmacie, Directrice Scientifique de la JAS (Japanese Antioxydant Society) (Tokyo - Japon)
Dr P. SEITE, Docteur en Pharmacie ; Responsable R&D des Laboratoires FORTE PHARMA (Monaco)
Mme T. DELHAYE, Ingénieur Projet Génie Pharmaceutique, Chef de projet Développements des Laboratoires FORTE PHARMA (Monaco)
Mme V. POUYSSEGUR, Gériatrie Odontologique - Biophysiologie du vieillissement cellulaire et tissulaire, Epigénétique-gériatrique. Maître de conférence des Universités (Nice/Sophia-Antipolis)
 
Prendre de l'âge ne doit plus être synonyme de déchoir ! Vitalité (physique, mentale, sexuelle...) et "bon moral" sont devenus aujourd'hui des critères essentiels de qualité de vie pour tous nos patients. En dehors des maladies chromosomiques ou génétiques congénitales, notre "potentialité génétique" n'est pas gravée dans le marbre comme nous l'avions longtemps cru. L'épigénétique ouvre des voies de recherches prometteuses ; et plus précisément l'épigénétique-nutritionnelle prend en compte les résultats croisés de la recherche en Biogénétique Mitochondriale (mieux contrôler les processus sur-oxydatifs) et ceux de l'étude des terrains de sub-acidose métabolique chronique (qui font, en synergie délétère, le lit des processus micro-inflammatoires tissulaires et des processus de vieillissement accéléré).
La deuxième partie de cet Entretien sera consacrée à l'exposé d'une étude versus placebo ciblant l'intérêt d’une supplémentation nutritionnelle à base de Pinox™ (complexe de polyphénols extraits d'aiguilles de Pinus sylvestris, de Propolis et de Salvia officinalis).
Une conclusion pratique regroupera dix conseils-clef de prévention/rééquilibrage de ces terrains propices aux maladies dégénératives et aux processus de vieillissement accéléré.

Jeu, 6 Octobre
12:45 - 13:15

Symposium - Les tremblements : du symptôme au traitement

Salle 342 AB

Session organisée par APTES
Modérateurs : Pr E. APARTIS, Unité de Neurophysiologie, Hôpital Saint-Antoine, AP-HP , Dr D. GRABLI, Département des Maladies du Système Nerveux, GH Pitié-Salpêtrière, AP-HP
12:45 - 13:00
Est-ce un tremblement essentiel ? Comment raisonner face à un patient qui trembleDr D. GRABLI, Département des Maladies du Système Nerveux, GH Pitié-Salpêtrière, AP-HP
13:00 - 13:15
Prise en charge du tremblement essentielDr V. MESNAGE, Service de Neurologie, Hôpital Saint-Antoine, AP-HP
 
Le tremblement est l'un des symptômes neurologiques les plus fréquents. Il peut orienter vers de multiples diagnostics, dont certains imposent une prise en charge spécifique. Alors que la maladie de Parkinson est la mieux connue, le tremblement essentiel est considéré comme la cause la plus fréquente de tremblement. Les objectifs de cette session sont donc :
- de permettre aux médecins non neurologues de disposer d'un algorithme opérationnel afin d'orienter leur diagnostic face à un patient qui tremble.
- de préciser les options thérapeutiques dans le cadre du tremblement essentiel.

Jeu, 6 Octobre
12:45 - 13:45

Symposium - Détection et prise en charge de la fragilité en station thermale

Salle 351

Session organisée par La Médecine Thermale
12:45 - 13:45
IntervenantsDr M. SECHER, Toulouse
Pr C. JEANDEL, Pôle de Gérontologie, CHU de Montpellier
Pr C.F. ROQUES, Président du Conseil scientifique de l'AFRETh, Collaborateur du Pr Vellas, Gérontopôle de Toulouse
Mr C.E. BOUVIER, Délégué général du CNETh
 
Cette session sera axée sur deux éléments principaux :
- la détection des patients à risque de fragilité à partir de l'expérience des consultations de prévention (étude AFRETh - consultation de Prévention - Pr Jeandel, Montpellier) ;
- la mise en oeuvre d'une procédure de prise en charge de la fragilité en station thermale articulée en quatre temps : dépistage à partir d'auto-questionnaires validés, signalement au médecin, évaluation par les procédures validées en cours au Gérontopole et recommandations ou actions.
Cette session fournira l'opportunité de présenter les travaux conduits sous l'égide de l'AFRETh dans le domaine de la gérontologie.

Jeu, 6 Octobre
12:45 - 13:45

Symposium - La toux aiguë de l'enfant : pourquoi ? comment ? que faire ?

Salle 352 AB

Session organisée par PIERRE FABRE
Modérateur : Pr J.P. OLIVES, Toulouse
12:45 - 13:45
Prise en charge par le Médecin Généraliste : les recommandations Françaises à l'épreuve de la vraie vieDr J.P. BECQ, Toulouse
Etude Européenne sur la toux de l'enfant : premiers résultats en PolognePr V. PAPAEVANGELOU, Athènes, Grèce
 
La toux est un mécanisme physiologique et un symptôme fréquent chez le nourrisson. C'est le troisième motif de consultation chez le médecin généraliste.
La toux aiguë est le plus souvent secondaire à une rhinopharyngite virale toutefois son impact est important car elle est fréquemment génératrice d'anxiété chez les parents et de perturbation du sommeil avec retentissement sur les activités de la journée.
L'agence du médicament a récemment réévalué l'ensemble des médicaments indiqués dans la prise en charge de la toux. La palette thérapeutique a été réduite, particulièrement chez le nourrisson.
Ce symposium permettra d'analyser comment les recommandations actuelles peuvent être appliquées en pratique par le médecin généraliste en France. 
Pour aller plus loin dans la compréhension des besoins et pour évaluer l'impact de la toux aiguë du nourrisson et de l'enfant, une enquête Européenne a été mise en place en Pologne, Grèce et Portugal. Les premiers résultats recueillis en Pologne seront présentés lors du symposium.

Jeu, 6 Octobre
13:15 - 13:45

Symposium - KLESIA, le partenaire prévention des professionnels de santé - L'exemple de la pharmacie d'officine

Salle 353

Session organisée par KLESIA
13:15 - 13:45
IntervenantMme E. DELPIT, Directrice Prévention & Innovations sociales, Klésia
 
Les organismes de protection sociale proposent depuis des années une couverture sociale - retraite, prévoyance et santé - aux salariés des entreprises. Le groupe KLESIA a développé une expertise dans l'accompagnement de secteurs professionnels, parmi lesquels les métiers de la santé et plus particulièrement la pharmacie d'officine.
A ce titre, KLESIA met en place une politique de prévention santé à destination des salariés et travailleurs non salariés de cette branche professionnelle qui tienne compte de leurs spécificités. Elle se traduit par des services directement accessibles aux salariés et leurs familles ou mis à disposition des employeurs pour leur permettre de mieux répondre à leurs obligations ou renforcer leur performance sociale.
Compte tenu de leur place dans le système de santé, les pharmaciens sont les acteurs incontournables d'une démarche de prévention efficace à destination de toute la population. KLESIA appuie ainsi les initiatives des pharmaciens en matière de prévention et à renforcer leurs outils et leviers d'action.
Ce symposium permettra de donner un aperçu de ces services et de ces actions ainsi que d'échanger avec les pharmaciens sur l'évolution de leur rôle dans la prévention. Une même démarche pourrait être étendue à d'autres professionnels de santé.

Jeu, 6 Octobre
14:00 - 16:00

Cardiologie

Amphi Bordeaux

Président de session : Pr M. DESNOS, Unité Clinique - Insuffisance Cardiaque, Hôpital Européen Georges Pompidou, AP-HP
14:00 - 15:00
Réadaptation et activité physique chez le coronarien et l'insuffisant cardiaque (table ronde)Objectif(s)
- Connaître les principaux déterminants de la prescription d'une activité physique
- Connaître les indications de la réadaptation cardiaque chez les patients coronariens et insuffisants cardiaques
- Connaître les bénéfices à attendre de la réadaptation cardiaque
Dr M.C. ILIOU, Service de Réadaptation Cardiaque, Hôpital Corentin Celton, AP-HP
Dr P. CRISTOFINI, Service de Réadaptation Cardiaque, Hôpital Corentin Celton, AP-HP
Dr J.C. BLANCHARD, Service de Réadaptation Cardiaque, Hôpital Corentin Celton, AP-HP
15:00 - 16:00
Coeur et âge - Fibrillation atriale du sujet âgé et AVC (table ronde)Pr T. LAVERGNE, Service de Cardiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou, AH-HP
Dr D. CALVET, Paris
Pr O. HANON, Service de Gérontologie, Hôpital Broca, AP-HP
Dr E. CHAUSSADE, Service de Gérontologie, Hôpital Broca, AP-HP
 

Jeu, 6 Octobre
14:00 - 16:00

Pédiatrie

Salle 342 AB

Président de session : Dr C. JEANDEL, Montpellier
14:00 - 15:00
Diagnostics à évoquer devant une diarrhée, des vomissementsObjectif(s)
- Le vomissement est actif, la régurgitation passive
- Tout vomissement « vert » est une urgence chirurgicale jusqu'à preuve du contraire
- Le traitement majeur de la déshydratation est la Solution de Réhydratation Orale
- Jamais de régime sans gluten sans preuve histologique
Dr S. FOURNIER FAVRE, Montpellier
15:00 - 15:30
L'enfant hypocondriaque : quand y penser ?Objectif(s)
- Considérations cliniques sur l'hypocondrie
- Spécificité chez l'enfant
- Prise en charge
Dr L. FORGEOT, Gentilly
15:30 - 16:00
Puberté précoce : quand envisager une exploration ?Objectif(s)
- Savoir les stades de développement pubertaires
- Connaître les âges définissant la puberté précoce chez la fille et chez le garçon
- Connaitre les facteurs de risque personnels ou familiaux prédisposant à une puberté précoce
Dr A. MONTOUT, Toulouse
 

Jeu, 6 Octobre
14:00 - 15:00

Table Ronde "Onco-hématologie : quoi de neuf ?"

Salle 351

Coordinateur : Pr J.L. HAROUSSEAU, Hématologue, ancien Président de la Haute Autorité de Santé
14:00 - 15:00
IntervenantsDr B. BAROUDJIAN, Chef de Clinique Assistant, Service de Dermatologie, Hôpital Saint-Louis, AP-HP
Pr J. CADRANEL, Chef du service de Pneumologie, Hôpital Tenon, AP-HP
Mme D. DEBIAIS, Vice-Présidente d'Europa Donna, Association de Patientes
Mr F. SROUR, Conseil National de l'Ordre des Kinésithérapeutes
Mme V. TUAL, Cadre de Santé, Institut Curie, Membre du CA de l'AFIC
 
S'il est un domaine où les innovations de rupture sont légion, c'est bien le domaine de l'onco-hématologie. Que faut-il savoir des nouveaux traitements, des nouvelles approches thérapeutiques, mais aussi des nouvelles façons de prendre en charge le patient, intégrant l'éducation thérapeutique, la thérapie sportive et l'implication du patient lui-même dans sa prise en charge ?

Jeu, 6 Octobre
14:00 - 15:00

Les coopérations des équipes de l'AP-HP avec les médecins et les paramédicaux de ville : partage d'expérience

Salle 352 AB

Session organisée par l'AP-HP
Coordinateur : Pr A. MALLAT, Service d'hépato-gastro-entérologie, Hôpital Henri Mondor, AP-HP ; Présidente de la CMEL des hôpitaux universitaires Henri Mondor ; Membre du directoire de l'AP-HP
14:00 - 15:00
Etat des lieux des coopérations des équipes hospitalières avec les médecins et paramédicaux de villeDr S. DE CHAMBINE, Chef du service Parcours patients, Direction de l'organisation médicale et des relations avec les universités, AP-HP
Projet médecins partenairesMr E. GRASS, Directeur du pilotage et de la transformation, AP-HP
Coopération Ville-hôpital dans la prise en charge des patients BPCODr A. HERVE, Service de Pneumologie, Hôpital Avicenne, AP-HP
Pr H. FALCOFF, Médecin généraliste, Paris 13
Coopération Ville-hôpital en pédiatrieDr J. BLED, Pédiatre libéral, Sceaux
Pr V. GAJDOS, Service de Pédiatrie, Hôpital Antoine Béclère, AP-HP
 
Le développement des coopérations avec les médecins et paramédicaux de ville pour mieux organiser la prise en charge du patient est au coeur du plan stratégique 2015/2019 de l'Assistance Publique - Hôpitaux de Paris.
La session a pour objectifs de partager les actions de coopération déjà menées par les équipes hospitalières et de présenter le projet médecins partenaires qui vise à structurer une offre de services pour les médecins de ville. La 2ème partie de la session sera consacrée à un retour d'expériences concrètes, qui sera animé par des binômes médecin de ville-médecin hospitalier, afin de mettre en évidence l'intérêt de ces nouvelles organisations, et d'identifier les facteurs de succès de ces projets.

Jeu, 6 Octobre
14:00 - 15:00

Vaccins et vaccination

Salle 353

Session organisée par le Conseil national de l'Ordre des pharmaciens
Coordinateur : Pr F. CHAST, Président du Cespharm
14:00 - 15:00
InterventionMme L. GRANGEOT-KEROS, Virologue, Académie de pharmacie, PH Antoine Béclère à Clamart
Mme F. BASSI, Président de la section B (industriels)
 
Rappeler les différents types de vaccins ; Comment est élaboré le calendrier vaccinal ? Comment sont-ils fabriqués ? Pourquoi une montée en puissance des ruptures de stock ? Le rôle majeur du pharmacien dans l'information du public et la prévention ; un nouvel outil au service du suivi vaccinal développé par l'Ordre national des pharmaciens : le DP vaccination.

Jeu, 6 Octobre
15:00 - 16:00

La menace épidémique (Zika, dengue,...) : l'affaire de tous

Salle 352 AB

Session organisée par La Direction Générale de la Santé
Coordinateur : Pr B. VALLET, Direction Générale de la Santé
15:00 - 16:00
IntervenantsMr P. BEGUE, Président de l'Académie nationale de Médecine
Mme B. BERTHELOT-LEBLANC, Ordre national des pharmaciens, Présidente de la section E (pharmaciens d'outremer)
Pr F. BRICAIRE, Président du Comité Scientifique - Service des Maladies Infectieuses, Hôpital de la Pitié Salpêtrière, AP-HP
Dr P. ERRARD, Président du LEEM
Pr B. VALLET, Direction Générale de la Santé
Pr Y. YAZDANPANAH, Service de Maladies Infectieuses Tropicales, Hôpital Bichat, AP-HP
 
La perception du risque infectieux est relativement lointaine parmi la population française. Cela ne semble plus faire partie des préoccupations des français hormis lors des menaces épidémiques. Zika, dengue, chikungunya et émergence toujours possible de souches résistantes de virus sont pourtant des menaces prégnantes, pas seulement dans les contrées lointaines, qui mobilisent les autorités de santé publique, les chercheurs publiques et privés. Ou en est-on des avancées et des vaccins ? Que faut-il savoir ?

Jeu, 6 Octobre
15:15 - 16:00

Cancérologie

Salle 351

Président de session : Pr A. ADENIS, Lille
15:15 - 16:00
L'immunothérapie pour les nulsObjectif(s)
- Connaitre le mode de fonctionnement des immunothérapies
- Connaitre les indications actuellement reconnues
- Connaitre les toxicités potentielles et leur management
Dr C. MASSARD, Villejuif
 

Jeu, 6 Octobre
15:30 - 16:30

L'implication des professionnels de santé dans la lutte contre le dopage

Salle 353

Session organisée par le Conseil national de l'Ordre des pharmaciens
Coordinateur : Pr F. CHAST, Président du Cespharm
15:30 - 16:30
InterventionMme V. FOURNEYRON, Présidente du Comité Santé, Médecine, Recherche de l'Agence Mondiale Antidopage, Ancienne ministre en charge des Sports, Députée de Seine-Maritime
Mr J.P. GOULLE, Membre du Collège de l'AFLD siégeant au titre de membre titulaire de l'Académie nationale de pharmacie
 
Quels médicaments et compléments alimentaires sont concernés ? Comment bien les repérer ? Comment déclarer les mésusages ? Comment lutter contre le dopage ?

Jeu, 6 Octobre
16:30 - 17:30

Table Ronde "Vaccination des professionnels de santé"

Amphi Bordeaux

Coordinateur : Pr G. VALLANCIEN, Membre de l'Académie Nationale de Médecine
16:30 - 17:30
IntervenantsDr O. BELEY, Médecin Généraliste
Mr O. DRIGNY, Vice-président de l'Ordre National des Infirmiers
Mr P. GAERTNER, Président de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France
Pr B. LINA, Professeur de Virologie, Chef de service du laboratoire de Virologie des Hospices Civils de Lyon, Directeur du CNR des virus Influenza à Lyon et responsable de l'équipe de recherche sur le virus Influenza au Centre International de Recherche en Infectiologie (Inserm U1111, CNRS UMR 5304, UCBL, ENS Lyon)
Pr L. MARTINEZ, Vice-président de la Société Française de Médecine Générale, Issy les Moulineaux
 
La baisse de la couverture vaccinale des français ne semble pas épargner les professionnels de santé eux-mêmes. Fatalité ou manque d'information ? Existe-t-il des différences entre la ville et l'hôpital et selon les métiers ? Faut-il sensibiliser ceux en contact avec les populations fragiles ? Pourquoi et comment ? Le point de vue des experts hospitaliers et des praticiens de ville.

Jeu, 6 Octobre
16:30 - 18:00

ORL - Urgences en ORL (table ronde)

Salle 342 AB

Modérateur : Pr O. STERKERS, Unité d'Otologie, Implants auditifs et chirurgie de la base du crâne, Hôpital de la Pitié Salpêtrière, AP-HP
16:30 - 18:00
Otites aiguës de l’enfant et leurs complicationsPr V. COULOIGNER, Service d'Oto-Rhino-Laryngologie, Hôpital Necker, AP-HP
Dr F. BRISSE, Avray
EpistaxisPr L. CRAMPETTE, Montpellier
Dr D. PUTOD, Mende
Surdité brusqueDr I. MOSNIER, Service Oto-Rhino-Laryngologie (ORL) et Chirurgie Cervico-Faciale, Hôpital de la Pitié Salpêtrière, AP-HP
Mme D. COZZOLINO, Bois-Colombes
Dyspnée du nourrisson et de l'enfantPr R. NICOLLAS, Marseille
 

Jeu, 6 Octobre
16:30 - 17:30

Cancérologie

Salle 351

Président de session : Pr A. ADENIS, Lille
16:30 - 17:00
Anticiper et gérer les toxicités des inhibiteurs de tyrosine kinase à visée anti-angiogénique, administrés par voie orale et prescrits en ambulatoireObjectif(s)
- Connaître la place de cette classe thérapeutique en cancérologie
- Prévenir les effets secondaires, rappeler les règles hygiéno-diététiques
- Gérer les effets secondaires les plus fréquents
Dr N. PENEL, Lille
17:00 - 17:30
Suivi des adultes guéris d'un cancer dans l'enfanceObjectif(s)
- Savoir que les adultes guéris d'un cancer dans l'enfance peuvent présenter des complications à long terme liées au traitement
- Savoir qu'il existe des dispositifs de suivi long terme pour les adultes guéris d'un cancer dans l'enfance
- Savoir qu'il existe des recommandations de suivi pour ces patients sur le site de la Société Française des Cancers de l'Enfant
Dr B. FRESNEAU, Villejuif
 

Jeu, 6 Octobre
16:30 - 18:00

Rhumatologie - Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l'ostéoporose sans jamais avoir osé le demander (table ronde)

Salle 352 AB

Objectifs
- Connaître l'épidémiologie et l'évolution de l'incidence des principales fractures ostéoporotiques
- Connaître les critères justifiant la mise en oeuvre d'un traitement anti- ainsi que les avantages et inconvénients des principaux traitements anti-ostéoporotiques
- Connaître les différents moyens à mettre en oeuvre pour optimiser la prise en charge après la survenue d'une fracture par fragilité osseuse
Modérateur : Mr B. CORTET, Président du GRIO, Lille
16:30 - 18:00
L'ostéoporose en 2016 : où en sommes-nous ? (Nouvelles données épidémiologiques, densitométrie osseuse, niveau de prise en charge...)Dr E. LESPESSAILLES, Orléans
Prise en charge thérapeutique de l'ostéoporose post ménopausiquePr C. ROUX, Service de Rhumatologie B, Hôpital Cochin, AP-HP
Comment améliorer la prise en charge : les filières fractures et le PRADOMr P. GUGGENBUHL, Rennes
 

Jeu, 6 Octobre
17:00 - 18:00

Le Dossier Pharmaceutique (DP) : un service proposé par des professionnels de santé pour sécuriser le parcours de soins des patients en ville et à l'hôpital

Salle 353

Session organisée par le Conseil national de l'Ordre des pharmaciens
Coordinateur : Mme V. BOUREY DE COCKER, Membre du Conseil national de l'Ordre des pharmaciens
17:00 - 18:00
InterventionDr D. PINEY, PH à Lunéville
Mr A. TRINH DUC, PH au Centre Hospitalier d'Agen
 
Retour d'expérience ; conciliation médicamenteuse ; un lien indispensable entre la ville et l'hôpital

Jeu, 6 Octobre
17:30 - 18:00

Médecine Générale

Amphi Bordeaux

Président de session : Dr N. LEDOUX-MASQUELIER, Paris
17:30 - 18:00
Traitement des douleurs chroniques : stratégie, place de la consultation anti-douleurObjectif(s)
- Savoir que la douleur chronique nécessite de pondérer les 3 causes qui la rende rebelle aux traitements : 1. la cause biophysiologique (sensibilisation des capteurs de la douleur et défaut du système de contrôle), 2. la cause psycho fonctionnelle (configuration néfaste des évènements de vie), 3. la cause sociologique (représentation identitaire négative)
- Connaitre le mode de fonctionnement de la structure douleur chronique c'est-à-dire réaliser une évaluation pluridisciplinaire qui doit favoriser une remise en question de la demande du patient, puis de sa plainte, enfin de la consommation de soins iatrogène (l'intensité de la douleur ne disparaitra que plus tard et très lentement)
- Savoir que la maladie douloureuse chronique c'est 17% de la population européenne pourtant cette entité pathologique est méconnue car vue comme l'échec de la médecine moderne (fondé sur un paramètre pathologique, objectivé par un examen complémentaire et répondant à un traitement validé
Dr P. GINIES, Montpellier
 

Jeu, 6 Octobre
17:30 - 18:00

Médecine Générale

Salle 351

Président de session : Dr N. HALLINGER
17:30 - 18:00
Corticothérapie : indications, modalités, surveillance, arrêtObjectif(s)
- Définir la place du médecin généraliste dans la prise en charge des patients traités par corticoïdes au long cours
- Savoir hiérarchiser les mesures de prévention des complications de la corticothérapie
- Connaitre les principes de sevrage d'une corticothérapie prolongée
Dr G. MOULIS, Toulouse
 

Jeu, 6 Octobre
18:00 - 18:45

Symposium - Fatigue et supplémentation vitaminique. Une question d'assimilation des actifs

Salle 315

Session organisée par ARKOPHARMA
18:00 - 18:45
La fatigue... LA plainte du 21ème siècle. Quelle réponse ? Dr Y. DJIAN, Médecin Généraliste, Paris
L'efficacité de la supplémentation vitaminique repose sur la biodisponibilité et l'assimilation des actifsDr V. CHABERNAUD, Spécialiste de la vitalité, Malakoff
 
L'objectif de ce symposium est double : cerner la prise en charge de la fatigue en médecine générale et connaître les critères de qualité d'un complément alimentaire multivitaminé.
 
La fatigue
En France et dans le monde, la  plainte de fatigue est de plus en plus fréquente, elle est au 7e rang des motifs de consultation aux USA.
Quels sont les signes cliniques de la fatigue ? Est-elle associée à d'autres symptômes ? Qui est concerné ? Quel arbre décisionnel est pertinent ?
 
Sa prise en charge par supplémentation vitaminique
Lorsque les recommandations hygiéno-diététiques ne suffisent pas, une supplémentation minéralo-vitaminique est une aide utile. Quels sont les Apports nutritionnels conseillés (ANC) et les Valeurs nutritionnelles de référence (VNR) ? Pourquoi l'assimilation des actifs est variable selon la composition du produit (origine naturelle / chimique des vitamines et minéraux) ?

vendredi 7 octobre 2016

Ven, 7 Octobre
09:00 - 10:00

Nutrition - L'intestin : notre 2ème cerveau ? (table ronde)

Salle 342 A

Objectifs
- Savoir qu'il y a un vrai dialogue entre l'intestin et le cerveau. Comme le cerveau, le tube digestif dispose de neurones qui émettent des signaux lui permettant de contrôler la digestion et d'être en lien avec le cerveau
- Savoir que le microbiote joue un rôle majeur dans le fonctionnement intestinal mais qu'il peut aussi agir sur nos comportements alimentaires
- Savoir que le système nerveux entérique intègre de nombreux signaux sensoriels notamment alimentaires afin de contrôler et de maintenir les fonctions intestinales normales
Modérateur : Pr Y. BOIRIE, Clermont-Ferrand
09:00 - 09:20
Physiopathologie du dialogue entre l'intestin et le cerveauPr F. JOLY, Clichy
09:20 - 09:40
Le microbiote intestinal peut-il guider nos conduites alimentaires ?
09:40 - 10:00
Système nerveux entérique et pathologies neurodéveloppementales et neurodégénérativesMr M. NEUNLIST, Nantes
 

Ven, 7 Octobre
09:00 - 10:30

Gériatrie - Quoi de neuf en gériatrie (table ronde)

Salle 351

Modérateur : Pr C. JEANDEL, Pôle de Gérontologie, CHU de Montpellier
09:00 - 09:30
En cardio-gériatriePr O. HANON, Service de Gérontologie, Hôpital Broca, AP-HP
09:30 - 10:00
En iatrogénie médicamenteusePr C. JEANDEL, Pôle de Gérontologie, CHU de Montpellier
10:00 - 10:30
En pathologie infectieuse : Impact des pathologies infectieuses chez les seniorsObjectif(s)
- Connaître les principales vaccinations à recommander spécifique à la personne âgée
- Savoir appliquer les stratégies simples de diagnostic clinique et biologique des maladies infectieuses
- Connaître et intégrer le risque polypathologique dans sa pratique quotidienne
Pr B. de WAZIERES, Nimes
 

Ven, 7 Octobre
09:00 - 10:00

Table Ronde "Coeur et diabète : nouvelles stratégies pour vieilles maladies"

Salle 352 AB

Coordinateur : Pr J.F. BERGMANN, Chef du Département de Médecine Interne Hôpital Lariboisière, Professeur de Thérapeutique URF Paris Diderot, Ancien Vice-Président de la Commission d'AMM
09:00 - 10:00
IntervenantsPr E. BRUCKERT, Chef du Service d'Endocrinologie métabolisme et prévention cardiovasculaire, Hôpital de la Pitié Salpêtrière, AP-HP
Dr C. COLLET, Chef de projet régional diabète, Direction de la santé publique, ARS Ile-de-France
Dr I. CRASSARD, Neurologue, Hôpital Lariboisière, AP-HP
Dr P. de HAAS, Président de la FFMPS, Fédération Française des Maisons et Pôles de Santé
Pr S. HALIMI, Professeur Emérite de l'Université médicale et des sciences, Université Joseph Fourier, Grenoble
 
On pourrait penser, à tort, que tout a été dit sur le traitement de l'hypercholestérolémie, la prise en charge du diabète de type 2 ou les traitements anticoagulants. Pourtant, on peut parler de petites révolutions thérapeutiques dans la prise en charge de ces "vieilles" maladies et ce dans deux directions complémentaires :
-    La prise en charge globale de ces patients impose une coordination thérapeutique de tous les acteurs de santé et définissant des objectifs thérapeutiques personnalisés (différents en prévention primaire et en prévention secondaire de l'hypercholestérolémie, différents selon les malades diabétiques, individualisés dans la fibrillation auriculaire...). Dans ces trois domaines, l'éducation thérapeutique du patient revêt une importance capitale.
-    Des nouvelles options thérapeutiques (nouveaux médicaments hypocholestérolémiants, nouvelles stratégies et nouvelles associations thérapeutiques dans le diabète, anticoagulants oraux directs en alternative des anti-vitamine K...) offrent désormais des moyens thérapeutiques nouveaux, efficaces et permettant éventuellement des traitements plus simples à suivre mais dont la réelle place dans la stratégie thérapeutique se devra d'être mieux définie à l'avenir par des études de suivi à long terme en vie réelle.

Ven, 7 Octobre
09:00 - 10:30

Pneumologie

Salle 353

Président de session : Pr D. VALEYRE
09:00 - 09:30
Les grands changements dans le traitement du cancer broncho-pulmonaireObjectif(s)
- Comprendre les apports du démembrement moléculaire des cancers bronchiques à leur prise en charge par les thérapeutiques ciblées
- Comprendre la deuxième révolution thérapeutique que constitue l'immunothérapie par anticorps ciblant les points de contrôle immunitaires
- Comprendre les enjeux du dépistage organisé du cancer bronchique par scanner faiblement irradiant
Pr G. ZALCMAN, Service d'oncologie thoracique, Hôpital Bichat, AP-HP
09:30 - 10:30
Quels traitements pour les affections respiratoires chroniques en 2016 ? BPCO, asthme... Impact de l'environnement (table ronde)Objectif(s)
- Savoir pourquoi et comment différencier l'asthme et la BPCO en pratique quotidienne (clés diagnostiques, objectifs et stratégies de prise en charge)
- Asthme et BPCO non contrôlés : que faut-il vérifier avant de changer de médicaments ?
Dr L. SESE, Paris
Pr N. ROCHE, Pneumologie et Soins Intensifs Respiratoires, Hôpital Cochin, AP-HP
 

Ven, 7 Octobre
10:00 - 10:30

Nutrition

Salle 342 A

Président de session : Pr Y. BOIRIE, Clermont-Ferrand
10:00 - 10:30
Importance de l'alimentation à tous les âges de la vieObjectif(s)
- Comprendre l'importance de la variété alimentaire pour une bonne nutrition
- Eviter tous les discours angoissants et restrictifs au profit de messages positifs
Dr J.M. LECERF, Lille
 

Ven, 7 Octobre
10:00 - 10:30

Diabète

Salle 352 AB

Président de session : Dr B. CHICOULAA, Toulouse
10:00 - 10:30
Le pied diabétiqueObjectif(s)
- Etre capable de reconnaître la part neuropathique et/ou ischémique d'une plaie du pied diabétique
- Etre capable de mettre en place la décharge de la plaie
- Etre capable de prendre en charge une plaie infectée du pied diabétique
- Etre capable de mettre en place les mesures de prévention de récidive de la plaie du pied diabétique
Dr J. M'BEMBA, Service de Diabétologie, Hopital Cochin, AP-HP
 

Ven, 7 Octobre
11:00 - 12:00

Table Ronde "Prévention & Nutrition : quels outils pour les professionnels de ville ?"

Salle 342 A

Coordinateur : Mr N. BOUZOU, Economiste
11:00 - 12:00
IntervenantsMme N. CALOP, Co-Gérante de la Société C&J FORMATION (Organisme de Formation)
Pr M. DUCLOS, Chef du service de médecine du sport, CHU Clermont-Ferrand, Conseillère scientifique sport-santé Ministère des sports, Présidente Observatoire National de l'Activité Physique et de la Sédentarité
Mr D. LABROSSE, Interne Santé Publique, CEO Qweety Inc
Mr N. RENAUDIN, Président du Comité Scientifique de l'Etude Préliminaire à la mise en place d'un système d'étiquetage nutritionnel simplifié
Dr P. VUATTOUX, Médecin Généraliste, MSP St Claude à Besançon, chef de projet de MSP Qualité / Fédération Française des Maisons et Pôles de Santé (FFMPS)
 
La part du budget de la santé dédiée à la prévention est faible en France. On a le sentiment que les professionnels préfèrent se centrer sur la thérapeutique, le curatif plutôt que sur le préventif, alors que la prévention semble être un outil intéressant pour optimiser l'efficience de la prise en charge.
Quels sont les outils à la disposition des professionnels pour convaincre nos concitoyens de l'intérêt d'une approche préventive ?

Ven, 7 Octobre
11:00 - 12:30

Gériatrie - Actualités sur la prise en charge du patient arthrosique (table ronde)

Salle 351

Modérateurs : Pr C. JEANDEL, Pôle de Gérontologie, CHU de Montpellier, Dr E. MAHEU, Association Gériatrie-RHUMatologie (Groupe AGRHUM)
11:00 - 11:30
Les nouveaux visages de l'arthroseDr E. MAHEU, Association Gériatrie-RHUMatologie (Groupe AGRHUM)
11:30 - 12:00
Arthrose : mieux phénotyper pour mieux traiterDr C. CADET, Paris
12:00 - 12:30
Quelle prise en charge thérapeutique en 2016 ?Dr B. VERLHAC, Service de Rhumatologie, Hôpital Paul Brousse, AP-HP
 

Ven, 7 Octobre
11:00 - 11:30

Prise en charge coordonnée du patient diabétique en MSP

Salle 352 AB

Session organisée par la Fédération des Maisons & Pôles de Santé
Coordinateur : Dr L. VERNIEST, Médecine générale, MSP Steenvoorde
11:00 - 11:30
InterventionDr F. GRAND, Médecine générale, MSP de Chautagne
Dr F. LALEGERIE, Pharmacien, MSP de Chautagne
Dr L. VERNIEST, Médecine générale, MSP Steenvoorde
Dr E. JARROUSSE, VP Cegedim Healthcare Software, en charge des stratégies métier et contenus, Cegedim
 
Le Diabète en tant que pathologie chronique à risque, nécessite un suivi régulier tout au long de l'année. Chaque soignant comme le patient doit assurer la réalisation et la surveillance de nombreux paramètres (cliniques, biologiques et d'examens complémentaires).  L'outil informatique et les systèmes d'informations deviennent incontournables pour le partage des données et la coordination des soins.
La tendance actuelle est à l'organisation des professionnels de santé en pôle ou maison de santé, afin de faciliter les échanges et partages. 
Cette session a pour but de présenter un exemple de prise en charge coordonnée d'un patient diabétique.

Ven, 7 Octobre
11:00 - 11:30

Cardiologie

Salle 353

Président de session : Pr M. DESNOS, Unité Clinique - Insuffisance Cardiaque, Hôpital Européen Georges Pompidou, AP-HP
11:00 - 11:30
Prise en charge de la dyslipidémie de la personne âgée - Intolérance aux statines Objectif(s)
- Comprendre que les objectifs thérapeutiques sont différents en prévention primaire et en prévention secondaire
- Comprendre que l'hypercholestérolémie est un facteur de risque cardiovasculaire mais que sa prise en charge chez le sujet âgé doit tenir compte de l'ensemble des facteurs de risque et plus globalement du malade dans son ensemble
- Connaître les effets indésirables des statines
Dr P. FRIOCOURT, Blois
 

Ven, 7 Octobre
11:30 - 12:30

Table Ronde "Initiation de l'insuline : quels leviers d'optimisation ?"

Salle 352 AB

Coordinateur : Pr B. CHARBONNEL, Clinique d'Endocrinologie, Maladies métaboliques et Nutrition, CHU de Nantes
11:30 - 12:30
IntervenantsDr F.X. BROUCK, Directeur des assurés à la Direction déléguée à la gestion et à l'organisation des soins (DDGOS)
Dr B. DETOURNAY, Economiste de la santé, Directeur de Cemka-Eval
Mme B. LECOINTRE, Infirmière d'éducation, Présidente de l'ANFIIDE
Mr G. RAYMOND, Président de l'Association Française des Diabétiques
Dr M. VARROUD-VIAL, Conseiller médical soins primaires et professions libérales, Direction générale de l'offre de soins, Ministère des Affaires sociales et de la Santé
 
L'insulinothérapie est fréquemment présentée comme le dernier recours dans l'arsenal thérapeutique de la prise en charge des patients diabétiques de type 2. Quelle est la réalité des aspects médicaux et économiques de cette prise en charge ? Faut-il distinguer différents profils de patients afin d'optimiser l'efficience des traitements et de l'organisation des soins ?

Ven, 7 Octobre
11:30 - 12:30

Session "Innovations en santé"

Salle 353

Cette session propose aux participants de découvrir, par modules courts de 3 minutes, les actualités des partenaires des Entretiens de Bichat et leurs innovations récentes ou en développement.

Ven, 7 Octobre
12:00 - 12:30

Prévention

Salle 342 A

Session organisée par la Fédération des Maisons & Pôles de Santé
12:00 - 12:15
Les Maisons de santé : Espaces de conception et de réalisation d'actions coordonnées pluri-professionnelles de préventionDr P. GENDRY, Médecin généraliste, Pôle de Santé du Sud Ouest Mayennais, Vice Président FFMPS
12:15 - 12:30
Rôle des coordinations cliniques de proximité (CCP) sur le champ de la prévention dans le cadre PAERPAMr P. CHAUVET, Infirmier libéral, administrateur de la FFMPS et membre du COPIL national PAERPA
 
Les CCP formalisent des équipes de soins primaires organisées, ce que sont des MSP. Quatre axes facteurs d'hospitalisations évitables sont définis dans le PAERPA : iatrogènie, chute, troubles psychiques, dénutrition ; comment agir en terme de prévention pour y répondre ?

Ven, 7 Octobre
12:45 - 13:30

Symposium - Outils et expériences partagés pour améliorer la couverture vaccinale chez les patients atteints d'une pathologie chronique

Salle 342 A

Session organisée par SANOFI PASTEUR MSD
12:45 - 12:55
Point de vue de l'infectiologuePr O. LAUNAY, Hôpital Cochin, AP-HP
12:55 - 13:05
Point de vue du médecin généralisteDr M. SERIN, Médecin Généraliste, Maison de Santé Amandinoise, Bureau de la Fédération Française des Maisons et Pôles de Santé
13:05 - 13:15
Point de vue du néphrologuePr E. THERVET, Hôpital Européen Georges Pompidou, AP-HP
13:15 - 13:25
Point de vue du diabétologuePr J.J. ALTMAN, Hôpital Européen Georges Pompidou, AP-HP
13:25 - 13:30
Questions-réponses
 
Intervenants porte-parole des avancées d'un groupe de travail multidisciplinaire (Cardiologue, Diabétologue, Infectiologue, Médecin généraliste, Néphrologue, Neurologue, Pneumologue...) sur le thème de de la vaccination des patients atteints d'une pathologie chronique.
A l'origine de ce groupe de travail, un constat partagé par les parties prenantes médicales et confirmé par une enquête réalisée auprès de ces patients : La nécessité d'améliorer la communication entre les spécialistes et les médecins généralistes afin d'améliorer la couverture vaccinale de ces populations à risque.

Ven, 7 Octobre
12:45 - 13:15

Symposium - Nouvelles approches pluriprofessionnelles et coordonnées d'optimisation du parcours de santé pour les maladies chroniques : l'exemple de la démarche MSD. Parcours de santé pour le diabète de type 2

Salle 342 B

Session organisée par MSD
12:45 - 13:15
IntervenanteMme S. OUANHNON
 
Comment mettre en pratique les recommandations de parcours de soins ? Comment utiliser la matrice de maturité en soins primaires ? Comment impliquer le patient dans sa prise en charge ? Comment cibler les patients à risque et évaluer les plans d’action des équipes de soins ? Comment s’appuyer sur les systèmes d'information et les nouvelles technologies pour optimiser les prises en charge ? Quels leviers favorisent les changements de pratique ? Quels freins les ralentissent ? Autant de questions qui se posent aujourd'hui dans la prise en charge des maladies chroniques en structures pluriprofessionnelles (MSP, centre de santé…). Via une démarche unique, le laboratoire MSD accompagne aujourd'hui près de 70 structures de soins primaires dans l'optimisation de la prise en charge des patients diabétiques de type 2. Cette session sera l'occasion de partager des exemples de méthodes et outils mis en œuvre dans cette démarche, la démarche d'évaluation innovante associée à cette nouvelle approche et surtout les premiers retours d’expérience de la démarche.

Ven, 7 Octobre
12:45 - 13:30

Symposium - Parcours de soins : risque ou opportunité pour le médecin généraliste. Exemples dans l'ostéoporose et la maladie cardio-vasculaire

Salle 351

Session organisée par AMGEN
Modérateur : Pr F. FORETTE, Gériatre, Paris
12:45 - 13:30
IntervenantsPr J. BLACHER, Cardiologue, Paris
Pr E. LEGRAND, Rhumatologie, Angers
Dr P. de HAAS, Président de la FFMPS, Fédération Française des Maisons et Pôles de Santé
 
Objectifs de la session :
- Savoir diagnostiquer l'ostéoporose et les maladies cardiovasculaires et connaitre les conditions d'instauration d'un traitement.
- Identifier les professionnels à impliquer dans le suivi de ces maladies.
- Connaitre les structures favorisant le travail pluri-disciplinaire pour simplifier le diagnostic des maladies complexes.

Ven, 7 Octobre
12:45 - 13:30

Symposium - L'insulinothérapie basale dans le DT2 : où en sommes-nous en 2016 ?

Salle 352 AB

Session organisée par SANOFI DIABETE
12:45 - 13:30
Apport des nouvelles insulines basalesPr L. MARTINEZ, Vice-président de la Société Française de Médecine Générale, Issy les Moulineaux
L'insulinothérapie basale en pratiqueDr G. LE PAPE, Loctudy (29)
 
Le médecin généraliste est en première ligne dans la prise en charge des patients diabétiques sous insulines.
En pratique la mise sous insuline est un processus long et complexe, source d'inquiétude chez les patients. Le soignant se retrouve contraint à un compromis entre contrôle glycémique et risque d'hypoglycémies et renonce souvent à fixer des objectifs glycémiques ambitieux.
Plusieurs moyens pourront être mis en oeuvre pour optimiser le contrôle glycémique des patients diabétiques de type 2 sous insuline. Les nouvelles générations d'insuline basale font partie de ces alternatives. Grâce à un profil plus plat et une couverture des 24 et une moindre variabilité, elles ont démontré un bénéfice sur les hypoglycémies dans les études avec une flexibilité dans le choix de l'horaire des injections... Ces apports vont aider les soignants pour améliorer la prise en charge en pratique de leurs patients diabétiques sous insuline.

Ven, 7 Octobre
12:45 - 13:45

Symposium - Pourquoi et comment prévenir les infections respiratoires du patient adulte ?

Salle 353

Session organisée par PIERRE FABRE
12:45 - 13:45
Profils à risque et mesures de prévention des infections respiratoires chez l'adulte : résultats de l'enquête ARRMURE Dr B. CHICOULAA, Toulouse
Quel est l'impact économique des infections respiratoires de l'adulte ?Dr J. ZEKRI, Toulouse
Pollution atmosphérique et infections respiratoires : une réelle corrélation de cause à effet ?Dr E. ANDRE, Grenoble
 
Le type d'infections respiratoires (IR) de l'adulte varie en fonction de l'âge. Afin d'apprécier quelles sont les pratiques des médecins généralistes concernant la prise en charge et la prévention de ces IR une enquête a été réalisée, début 2016, en France. Cette enquête ARRMURE (Adulte à Risque d'infections Respiratoires : profil et Mesures Utiles de pREvention) a permis de mieux cerner les pathologies rencontrées, les profils de patients à risque et les attentes des médecins généralistes.
Les consommations de soins de santé et les répercussions sur l'activité professionnelle sont génératrices de dépenses importantes qui feront l'objet d'une analyse.
Les facteurs environnementaux sont souvent cités comme facteurs de risque, mais quel est leur impact réel et que peut faire le médecin face à ce challenge actuel ?

Ven, 7 Octobre
14:00 - 14:30

Nutrition

Salle 342 A

Président de session : Pr Y. BOIRIE, Clermont-Ferrand
14:00 - 14:30
Microbiote intestinal : quel rôle dans les maladies nutritionnelles et métaboliques ?Objectif(s)
- Le microbiote intestinal fait le lien entre l'environnement extérieur et la biologie de l'hôte, avec un rôle majeur de l'apport alimentaire sur la modulation du microbiote
- Il existe une diversité bactérienne réduite chez l'obèse, encore accrue en présence d'anomalies métaboliques
- Des métabolites (TMAO) dérivés de la digestion de certains alimentas par le microbiote sont associés à l'augmentation de la mortalité cardio-vasculaire
Dr J. ARON-WISNEWSKY, Service de Nutrition, Hôpital de la Pitié Salpêtrière, AP-HP
 

Ven, 7 Octobre
14:00 - 15:00

Iatrogénie médicamenteuse des personnes âgées : le rôle essentiel des praticiens de terrain

Salle 342 B

Session organisée par le LEEM
Modérateur : Mr G. CHAUFFERIN, Affinités Santé
14:00 - 15:00
IntervenantsMr E. BASEILHAC, Directeur des Affaires économiques et internationales du Leem
Mme C. WOLF, Membre du Conseil national de l'Ordre des pharmaciens, Comité de Pilotage des Entretiens de Bichat
Mr J. COGNEAU, Directeur scientifique de l'Institut de Recherche en Médecine Générale
Mr D. ARMAINGAUD, Directeur médical, éthique et qualité du groupe Korian
Mr V. BOUVIER, Président du groupe Vidal
 
Cette table ronde a pour objectif de discuter des enjeux de la lutte contre la iatrogénie médicamenteuse chez les personnes âgées, du rôle et de la complémentarité des acteurs de terrain.
Elle permettra de présenter les expériences concrètes mises en place depuis 2 ans par le "Collectif bon usage du médicament" et une première évaluation de leur impact. Elle abordera les projets en cours et ouvrira la discussion sur les perspectives pour progresser encore dans ce domaine à fort impact de santé publique.

Ven, 7 Octobre
14:00 - 15:00

Table Ronde "Le virage ambulatoire pour les pathologies lourdes : quelles implications pour les professionnels de santé de ville ?"

Salle 351

Coordinateurs : Dr P. de HAAS, Président de la FFMPS, Fédération Française des Maisons et Pôles de Santé, Dr E. HUBERT, Présidente de la FNEHAD, Fédération National des Etablissements d'Hospitalisation A Domicile
14:00 - 15:00
IntervenantsPr G. BLANCHO, Directeur de l'Institut de Transplantation - Urologie - Néphrologie (ITUN), CHU de Nantes
Dr P. BOISNAULT, Société Française de Médecine Générale
Mr A. DELGUTTE, Conseil national de l'Ordre des pharmaciens, Président de la section A (titulaires d'officine)
Mr J.Y. GARNIER, Infirmier, Trésorier du Conseil National de l'Ordre des Infirmiers
Dr M. TOUATI, Praticien Hospitalier Hématologue au CHU de Limoges, Président du Réseau de soins Hématolim
 
La loi du 26 janvier 2016 vise à recentrer notre système de santé sur les soins de proximité et annonce un "virage ambulatoire", incluant l'objectif de réduction des durées moyennes de séjour en hospitalisation complète. Ce changement de paradigme induit la mise en place d'une meilleure articulation entre la médecine de ville et l'hôpital, permettant de préparer au mieux et plus tôt le retour à domicile.
L'hospitalisation à domicile, à la frontière des mondes hospitaliers et ambulatoire, peut mobiliser son expertise en matière d'évaluation et de coordination (médicale, soignante et psycho-sociale) pour faciliter la prise en charge d'un nombre croissant de pathologies lourdes au domicile du patient. 
Le développement des équipes de soins primaires coordonnées ouvre l'opportunité d'une protocolisation du suivi des patients entre ville et hôpital. Voici qui rend possible une amélioration de la coordination pour une meilleure qualité de services aux patients.

Ven, 7 Octobre
14:00 - 16:00

Dermatologie

Salle 352 AB

Président de session : Dr A. PETIT, Service de Dermatologie, Hôpital Saint-Louis, AP-HP
14:00 - 15:00
La dermatologie sur peau noire (cas cliniques atelier)Objectif(s)
- Mieux comprendre la pigmentation cutanée et ses variations dans les populations humaines
- Connaître les caractères sémiologiques des dermatoses courantes sur peau fortement pigmentée
- Connaître quelques particularités épidémiologiques des dermatoses dans différentes populations à peau foncée
- Mieux comprendre et connaître la pathologie du cheveu et du poil crépu
Dr A. PETIT, Service de Dermatologie, Hôpital Saint-Louis, AP-HP
15:00 - 15:30
Le lichen scléreux vulvaireObjectif(s)
- Savoir reconnaître un lichen scléreux vulvaire
- Informer les patientes de façon adéquate
- Traiter
- Assurer le suivi en sachant adresser au spécialiste quand cela est nécessaire
Dr M. MOYAL-BARRACCO, Paris
15:30 - 16:00
Bilan et traitement des pruritsObjectif(s)
- Savoir faire le diagnostic étiologique d'un prurit à partir de l'examen clinique et de l'anamnèse
- Savoir orienter le bilan biologique et para-clinique d'un prurit
- Connaître les principales options thérapeutiques en cas de prurit
Pr L. MISERY, Brest
 

Ven, 7 Octobre
14:00 - 15:00

Pédopsychiatrie

Salle 353

Président de session : Pr M. BOUVARD, Bordeaux
14:00 - 14:30
Hyperactivité de l'enfantObjectif(s)
- Savoir reconnaitre les manifestations initiales du TDAH et les orientations pour confirmer le diagnostic, connaitre les diagnostics différentiels
- Connaitre la procédure diagnostique et les modalités du bilan fonctionnel et du retentissement
- Connaitre les complications lors de l'évolution
- Connaitre les principes des interventions thérapeutiques dans le TDAH
- Savoir les éléments du suivi d'un traitement par méthylphénidate (efficacité, effets secondaires)
Pr M. BOUVARD, Bordeaux
14:30 - 15:00
Anorexie, de l'enfance à l'âge adulteObjectif(s)
- Savoir les principaux éléments caractérisant l'épidémiologie et la clinique du trouble
- Connaitre les grandes lignes du bilan initial et de la prise en charge
- Savoir trouver des ressources pour obtenir des informations, un avis ou une orientation en cas de besoin
Mme N. GODART, Paris
 

Ven, 7 Octobre
14:30 - 15:00

Gynécologie

Salle 342 A

Président de session : Pr J.M. ANTOINE, Service de Gynécologie-Obstétrique et Médecine de la Reproduction, Hôpital Tenon, AP-HP
14:30 - 15:00
Dysménorrhée de l'adolescente, enjeux diagnostiques et prise en chargeObjectif(s)
- Connaître les diagnostics différentiels d'une dysménorrhée primaire
- Savoir traiter efficacement une dysménorrhée
- Savoir évoquer une endométriose
Dr L. DURANTEAU, Service Medecine des Adolescents, Hôpital de Bicêtre, AP-HP
 

Ven, 7 Octobre
15:00 - 16:00

Gynécologie - Papillomavirus (table ronde)

Salle 342 A

Modérateur : Dr J.L. MERGUI, Service de Gynécologie Médicale, Hôpital de la Pitié Salpêtrière, AP-HP
15:00 - 16:00
La charte de qualité en pathologie du colDr J.L. MERGUI, Service de Gynécologie Médicale, Hôpital de la Pitié Salpêtrière, AP-HP
Aspects dermatologiques des infections à HPVDr C. DE BELILOVSKY, Institut Alfred Fournier, Paris
Premier bilan de la vaccination HPVMr J. MONSONEGO, Paris
 

Ven, 7 Octobre
15:00 - 16:00

Table Ronde "Vaccination des seniors"

Salle 342 B

Coordinateurs : Pr F. BRICAIRE, Président du Comité Scientifique - Service des Maladies Infectieuses, Hôpital de la Pitié Salpêtrière, AP-HP, Pr C. JEANDEL, Pôle de Gérontologie, CHU de Montpellier
15:00 - 16:00
IntervenantsMr A. DELGUTTE, Conseil national de l'Ordre des pharmaciens, Président de la section A (titulaires d'officine)
Mme E. DELPIT, Directrice Prévention & Innovations sociales, Klésia
Pr J. GAILLAT, Service Infectiologie, CH Annecy-Genevois
Pr B. LINA, Professeur de Virologie, Chef de service du laboratoire de Virologie des Hospices Civils de Lyon, Directeur du CNR des virus Influenza à Lyon et responsable de l'équipe de recherche sur le virus Influenza au Centre International de Recherche en Infectiologie (Inserm U1111, CNRS UMR 5304, UCBL, ENS Lyon)
Dr M. SERIN, Médecin Généraliste, Maison de Santé Amandinoise, Bureau de la Fédération Française des Maisons et Pôles de Santé
 
La vaccination des seniors ne se résume pas à la seule prévention de la grippe qui fait l'objet des campagnes annuelles. Les recommandations vaccinales ont évolué : pourquoi ? Le point de vue des experts en gériatrie et en infectiologie pour mieux protéger nos aînés, selon leurs pathologies sous-jacentes ? Quel rôle pour les professionnels de santé en ville ?

Ven, 7 Octobre
15:00 - 16:00

Virage ambulatoire

Salle 351

Session organisée par la Fédération Nationale des Etablissements d'Hospitalisation à Domicile
Coordinateur : Dr E. HUBERT, Présidente de la FNEHAD, Fédération National des Etablissements d'Hospitalisation A Domicile
15:00 - 15:30
Quelles possibilités offre l'HAD dans un système gradués de soins à domicileDr E. BALLADUR, Chef du Pôle Adultes HAD AP-HP
15:30 - 16:00
Comment reconnaître un patient d'HAD à partir de cas cliniques ?Dr E. BALLADUR, Chef du Pôle Adultes HAD AP-HP
 
Quelles possibilités offre l'HAD dans un système gradué de soins à domicile ?
Les soins dispensés en hospitalisation à domicile (HAD) se différencient des soins habituellement dispensés à domicile par leur complexité, leur durée, et la fréquence des actes. L'HAD permet d'éviter ou de raccourcir une hospitalisation avec hébergement et concerne des malades de tous âges, atteints de pathologies graves, aiguës ou chroniques. Respectant les exigences du statut d'établissement de santé, l'hospitalisation à domicile permet d'assurer au domicile du patient des soins de niveau hospitalier (antibiothérapie de la réserve hospitalière, chimiothérapie, pansements complexes, soins palliatifs…), dans un contexte où de plus en plus de malades souhaitent être soignés auprès de leur entourage. 

Comment reconnaître un patient d'HAD à partir de cas cliniques ?
L'hospitalisation à domicile peut être prescrite par le médecin traitant du patient depuis 1992. Or, parce que cette possibilité est encore trop souvent méconnue, de nombreux malades, souvent fragiles, effectuent des passages aux urgences ou des séjours en établissement de santé avec hébergement qui pourraient être évités par le recours à l'HAD. A travers plusieurs cas pratiques, le Dr Elisabeth Balladur présentera les caractéristiques des patients relevant ou pouvant relever de l'HAD pour aider les médecins généralistes à les identifier dans leurs pratiques. 

Ven, 7 Octobre
15:00 - 16:00

Psychiatrie - Du bon usage des antidépresseurs (table ronde)

Salle 353

Modérateur : Pr J.F. ALLILAIRE, Service de Psychiatrie, Hôpital Pitié Salpêtrière, AP-HP
15:00 - 16:00
Consensus actuels et règles de prescriptionDr F. FERRERI, Service de Psychiatrie adulte, Hôpital Saint-Antoine, AP-HP
Traitement au long coursObjectif(s)
- Connaître la durée optimale d'un traitement antidépresseur
- Connaître les modalités d'arrêt d'un traitement antidépresseur
Dr B. CLAUDEL, Service de Psychiatrie adulte, Hôpital de la Pitié Salpêtrière, AP-HP
 

Ven, 7 Octobre
16:30 - 18:00

Gynécologie

Salle 342 A

Président de session : Pr J.M. ANTOINE, Service de Gynécologie-Obstétrique et Médecine de la Reproduction, Hôpital Tenon, AP-HP
16:30 - 17:00
Traitements médicaux et chirurgicaux de l'endométrioseObjectif(s)
- Connaître les principes du traitement médical de l'endométriose
- Connaître les bénéfices-risques de la chirurgie de l'endométriose
- Savoir orienter en cas d'endométriose et désir de grossesse
Dr P. SANTULLI, Assistance médicale à la procréation (AMP), Hôpital Cochin, AP-HP
17:00 - 17:30
IVG : nouvelles dispositions législatives et conséquences pratiquesObjectif(s)
- Connaitre les modifications de la loi sur l'IVG et ses implications pour la pratique médicale
- Conseiller une femme dans ses démarches pour obtenir une IVG
Dr P. FAUCHER, Service de Gynécologie-Obstétrique, Hôpital Trousseau, AP-HP
17:30 - 18:00
Blues du post-partum : détection, gestion du risqueObjectif(s)
- Bien définir la symptomatologie du blues du post-partum
- Différencier le blues du post-partum d'une dépression pré- et postnatale
- Repérer les éléments de sévérité du blues du post-partum
Dr S. BYDLOWSKI, Paris
 

Ven, 7 Octobre
16:30 - 17:30

Table Ronde "Vaccins de l'adolescent"

Salle 342 B

Coordinateur : Pr A. BUZYN, Présidente de la Haute Autorité de Santé
16:30 - 17:30
IntervenantsDr A. BILLETTE DE VILLEMEUR, Haut Conseil de Santé Publique, Groupe de travail
Pr R. COHEN, Pédiatre Infectiologue, CHI Créteil
Pr O. KREMP, DGS, Chargée de mission Santé des Jeunes et Politique Vaccinale
Pr L. MARTINEZ, Vice-président de la Société Française de Médecine Générale, Issy les Moulineaux
Pr P. YENI, Service des Maladies Infectieuses, Hôpital Bichat, AP-HP, Président du Conseil National du Sida et des Hépatites Virales
 
Si la couverture vaccinale est encore en France excellente dans la petite enfance, elle baisse de façon inquiétante chez les seniors et chez les porteurs d'affections chroniques.
Qu'en est-il à l'adolescence, l'âge où on se sent hors de danger ? Nos jeunes semblent se désintéresser de la Prévention, sont-ils conscients des risques potentiels et sont-ils suffisamment protégés vis-à-vis des menaces infectieuses sévères (méningite à méningocoque, hépatites, papillomavirus/ HPV) ? Que faire ? Quelles recommandations de nos autorités de santé et des experts ? Quels rôles pour les différents acteurs et professionnels de santé ?

Ven, 7 Octobre
16:30 - 17:30

Addictions

Salle 351

Session organisée par La Direction Générale de la Santé
Coordinateur : Dr P.Y. BELLO, Médecin de santé publique, Direction générale de la santé
16:30 - 17:30
Des TSO comme outil de RDR, à l'intégration de la RDR pour les patients sous substitution opiacéeDr X. AKNINE, Médecin généraliste, addictologue, référent national de MG addictions
Tabac : le médecin généraliste, premier recours !Dr P. DAIME, Médecin généraliste, addictologue, secrétaire générale de l'ANPAA
Tabac : arrêter le plus tôt possible, mais il n'est jamais trop tardPr D. THOMAS, Cardiologue, Vice-président de l'Alliance contre le tabac
 
Les addictions s'inscrivent dans le quotidien de la pratique du médecin généraliste.
Depuis plus de 20 ans les traitements de substitution opiacés (méthadone, buprénorphine haut dosage) sont un outil majeur pour la prise en charge des patients dépendants aux opiacés. S'ils sont clairement un outil de la réduction des risques et des dommages, ces risques perdurent et il faut savoir les aborder au cours du dialogue avec le patient sous TSO.
Avec 13 millions et demi de fumeurs quotidiens, la France et en premier lieu les généralistes font face à un défi majeur. A l'heure où le thème de l'arrêt du tabac vient d'être intégré dans la ROSP, cette table-ronde abordera le pourquoi de l'importance d'aborder le plus souvent possible la question du tabac et la manière d'accompagner un patient fumeur.

Ven, 7 Octobre
16:30 - 17:30

Gériatrie - Traitement des problèmes uro-génitaux impactant la qualité de vie des patients

Salle 352 AB

Modérateur : Pr C. JEANDEL, Pôle de Gérontologie, CHU de Montpellier
16:30 - 17:00
Dans l'hyperactivité vésicalePr C. JEANDEL, Pôle de Gérontologie, CHU de Montpellier
17:00 - 17:30
Dans la dysfonction érectileDr S. BELEY, Paris
 

Ven, 7 Octobre
16:30 - 18:00

Rhumatologie

Salle 353

Président de session : Pr P. RICHETTE, Service de Rhumatologie, Hôpital Lariboisière, AP-HP
16:30 - 17:30
La goutte (atelier)Pr P. RICHETTE, Service de Rhumatologie, Hôpital Lariboisière, AP-HP
17:30 - 18:00
Traitement chirurgical du syndrome du canal carpien (quand, comment)Dr E. ROULOT, Service de Rhumatologie, Hôpital Lariboisière, AP-HP
 

samedi 8 octobre 2016

Sam, 8 Octobre
09:00 - 10:30

Urologie - Le cancer de la prostate en 2016 : quelles options thérapeutiques pour quels patients ? (table ronde)

Salle 351

Modérateur : Pr J.L. DESCOTES, Président de l'Association Française d'Urologie, Grenoble
09:00 - 10:30
IntroductionPr J.L. DESCOTES, Président de l'Association Française d'Urologie, Grenoble
Actualités sur le dépistage, et aspects techniques de la prostatectomie (voie d'abord, curage...) Dr X. REBILLARD, Montpellier
Place de la chirurgie et autres traitements (avantages, inconvénients, morbidité, résultats)Pr M. SOULIE, Toulouse
Place de la radiothérapie et de la curiethérapiePr G. CREHANGE, Dijon
Autres thérapeutiques (HIFU; Traitements focaux,...)Dr X. REBILLARD, Montpellier
ConclusionPr J.L. DESCOTES, Président de l'Association Française d'Urologie, Grenoble
 

Sam, 8 Octobre
09:00 - 10:30

Ophtalmologie

Salle 352 A

Président de session : Pr J.L. DUFIER, Paris
09:00 - 09:30
La Lumière, un nouvel agent de pollution de l'organisme : pourquoi et comment ?Objectif(s)
- L'être humain est un animal diurne dont l'horloge interne comprend le message apporté par la lumière le jour
- L'exposition à la lumière la nuit entraîne sur le long terme des troubles de l'horloge qui peuvent entraîner des troubles importants de l'organisme
- La surveillance des travailleurs postés et de nuit (hôpitaux, personnel navigant, police...) comme celle des adolescents qui, de plus en plus, retardent leur sommeil est à cet égard impérative
Pr Y. TOUITOU, Sceaux
09:30 - 10:00
Cancers de l'oeil, primitifs et secondairesObjectif(s)
- Connaitre les principales tumeurs malignes intraoculaires
- Quel bilan et quel suivi général proposer à un patient ayant un mélanome de l'uvée
- Une leucocorie ou suspicion de leucocorie nécessite d'adresser un enfant pour la réalisation d'un fond d'oeil en urgence
Dr L. LUMBROSO-LE ROUIC , Paris
10:00 - 10:30
L'intérêt de la génétique clinique ophtalmologique en pratique médicale quotidienne Objectif(s)
- Découvrir l'intérêt de la génétique clinique ophtalmologique
- Connaître les modes de transmission génétique et l'établissement d'un arbre généalogique
- Garder systématiquement à l'esprit la possibilité d'une maladie familiale
Pr J.L. DUFIER, Paris
 

Sam, 8 Octobre
09:00 - 12:30

L'équipe de soins primaires existe : je l'ai rencontrée

Salle 352 B

Session organisée par la Fédération des Maisons & Pôles de Santé Ile de France
09:00 - 12:30
Travailler en protocoles pluri-professionnelDr D. MENARD, Président de la Fémasif
Utiliser un système informatique partagéDr J.C. CITTEE, Secrétaire Général de la Fémasif, Médecin Généraliste, MSP Créteil (94)
Mr J.M. NOUGAIREDE, Médecin Généraliste, MSP Gennevilliers, Pôle de Santé Universitaire de Gennevilliers - Villeneuve la Garenne (92)
Le temps de la coordination Mme S. DUBOIS, Coordinatrice Pole de santé Paris 13, Paris 18 et Pole Ramey
Mr M. MERINDOL, Coordinateur Pôle de Santé Universitaire de Gennevilliers - Villeneuve la Garenne (92)
Débat
 
La FémasIF est une association de professionnels de la santé libéraux travaillant en Maisons de Santé et Pôle de Santé en Île-de-France. L'objet de notre association est de favoriser et valoriser l'offre de santé en équipe de soins primaires.
Différents outils et méthodes de travail se sont progressivement développés et nous avons souhaité présenter :
- le travail avec des protocoles de soins pluri-professionnels qui répond aux besoins d'une équipe, il s'agit bien sûr de repérer les patients qui sont concernés puis de rédiger un document simple et court qui précisera les moyens utilisés et les soignants impliqués ;
- l'utilisation de système d'information partagé qui améliore et impacte le travail de toute une équipe et la prise en charge pluri-professionnelle des patients des MSP ;
- et le détail et l'organisation des temps de coordination au sein de différentes structures qui au-delà des liens entre les différents professionnels, permet aussi la mise en place de projets de santé publique et d'éducation thérapeutique des patients entre autre.

Sam, 8 Octobre
11:00 - 12:30

ORL - Acouphènes : quel bilan, quel traitement, pour quels résultats ? (table ronde)

Salle 351

Modérateur : Mme M.J. FRAYSSE, Toulouse
11:00 - 12:30
IntervenantsObjectif(s)
- Les acouphènes sont le symptôme de nombreuses causes, périphériques et/ou centrales
- Les acouphènes périphériques résultent d'une activité neuronale aberrante présente des le nerf auditif
- Les acouphènes centraux résultent d'une activité neuronale aberrante (non présente au niveau périphérique) générée au niveau central
- Certains acouphènes (centraux) résulteraient de remaniements centraux (plasticité centrale) déclenchés par une perte auditive
- Les acouphènes centraux pourraient être un effet collatéral de la plasticité homéostatique mise en jeu pour préserver une activité neuronale centrale constante en présence d'une perte auditive
- Savoir évaluer cliniquement un acouphène :caractéristiques, signes associés pertinents et circonstances de survenue
- Connaitre les bilans à envisager et les principales étiologies
- Connaitre les conseils directifs et pouvoir évoquer les prises en charges existantes
Mr A. NORENA, Marseille
Dr D. BOUCCARA, Service d'Oto-Rhino-Laryngologie, Hôpital de la Pitié Salpêtrière, AP-HP
Mr A. LONDERO, Service d'Oto-Rhino-Laryngologie et Chirurgie Cervico-Faciale, Hôpital Européen Georges Pompidou, AP-HP
Mme M.J. FRAYSSE, Toulouse
 

Sam, 8 Octobre
11:00 - 12:30

Attentats : et si demain j'étais impliqué ?

Salle 352 A

Session organisée par La Direction Générale de la Santé
Coordinateur : Dr P. BRASSEUR, DGS Ministère des Affaires sociales et de la Santé
11:00 - 12:30
Retour d'expérience des attentats du 13 novembre 2015 Pr P. CARLI, SAMU de Paris
Position du RAID et ses recommandationsDr M. LANGLOIS, RAID
Les premiers gestes du médecin généraliste avant l'arrivée du SAMUPr B. VIVIEN, SAMU de Paris
Blessures psychologiques : que puis-je faire, qui fait quoi ?Dr O. BODIC, CUMP des Pays de Loire
Comment se préparer et se porter volontaire pour demain ?Dr J.M. PHILIPPE, Direction Générale de la Santé
Retour d'expérience des pharmaciens : tous les métiers impliquésMme C. WOLF, Membre du Conseil national de l'Ordre des pharmaciens, Comité de Pilotage des Entretiens de Bichat
 
Cet atelier aura pour objectif de préparer un professionnel de santé libéral qui se trouverait impliqué dans un attentat à acquérir les bons réflexes pour aider les blessés en attendant les secours.
Il permettra également de ne pas passer à côté des aspects médico-psychologiques dont la prise en charge doit être très précoce.
Il présentera enfin les possibilités qui s'offrent aux professionnels de santé pour s'informer et informer ses patients et se préparer, voir se porter volontaire si une situation identique se reproduisait.

Sam, 8 Octobre
12:45 - 13:45

Symposium - Solution MSP, un logiciel multi-disciplinaire pour la coordination des soins et le suivi des patients chroniques. L'exemple du patient diabétique

Salle 352 B

Session organisée par CEGEDIM
12:45 - 13:45
IntervenantsDr F. GRAND, Médecine générale, MSP de Chautagne
Dr L. VERNIEST, Médecine générale, MSP Steenvoorde
Dr F. LALEGERIE, Pharmacien, MSP de Chautagne
Dr E. JARROUSSE, VP Cegedim Healthcare Software, en charge des stratégies métier et contenus, Cegedim
 
Les structures de santé multi-disciplinaires se dotent d'un système d'information partagé afin d'assurer la coordination de soins, notamment dans les maladies chroniques comme le diabète. Si la solution choisie doit comporter tous les outils pour faciliter le suivi et la coordination des soins entre les différents professionnels de santé, avec efficacité et souplesse, elle doit aussi permettre aux professionnels de santé d'analyser leurs données et, donc, de les accompagner dans les aspects décisionnels indispensables à l'amélioration du parcours de soins de leurs patients.
Lors de cette séance, des professionnels de santé présenteront les outils qu'ils utilisent aux quotidien dans le logiciel "Solution MSP" pour coordonner et sécuriser le parcours des patients diabétiques.

Sam, 8 Octobre
14:00 - 15:00

ORL

Salle 351

14:00 - 15:00
Vertiges rotatoires (atelier)Objectif(s)
- Savoir identifier devant un épisode les arguments pour une pathologie périphérique ou centrale
- Savoir réaliser un examen clinique d'un patient consultant pour un épisode vertigineux récent
- Connaître les principales étiologies de vertiges « périphériques » et les arguments cliniques permettant de les identifier
Dr D. BOUCCARA, Service d'Oto-Rhino-Laryngologie, Hôpital de la Pitié Salpêtrière, AP-HP
 

Sam, 8 Octobre
14:00 - 15:00

Urgences

Salle 352 A

14:00 - 15:00
Gestes techniques de petite chirurgie (atelier)Objectif(s)
- Perfectionnement des gestes de petite chirurgie
- Atelier pratique et théorique pour établir un diagnostic, poser une indication opératoire (ou savoir s'en abstenir), et réaliser l'opération au plus simple, de pathologies fréquentes vues au cabinet ou aux urgences
- Gestion peri et post operatoire des gestes de petite chirurgie
Mr M. ARTUSO, Hôpital de la Pitié Salpêtrière, AP-HP
Dr N. CHEREAU, Paris